Si vous avez écouté le dernier épisode de la Force G, vous savez déjà de quels jeux je vais vous parler. Par contre je vais profiter de cette chronique pour faire des précisions.

Vous allez comprendre assez vite que l'esthétique n'est pas importante.

Vous allez comprendre assez vite que l’esthétique n’est pas importante.

Rymdkapsel, le jeu avec un nom imprononçable, est disponible sur Playstation Mobile, mais pas encore sur iOS et Android contrairement à ce que j’avais affirmé, désolé. Il n’y a pas encore de date confirmée et même si je suis un gros fan de la PS Vita, je vous suggère d’attendre, surtout si vous avez une tablette roulant l’un des deux systèmes d’opérations (ou une tablette Sony). Je soupçonne fortement que le jeu sera encore meilleur sur un écran plus grand.

Parlons du jeu maintenant; jeu de stratégie pur qui mélange Command & Conquer, Tower Defense et Tetris. La grande force de Rymdkapsel ce sont ses contrôles terriblement simples qui en font un jeu plaisant, même s’il est difficile. Deux barres de menu qui vous permettent de construire votre base et d’assigner vos laquais (minions) aux différentes tâches de la base (construction, ingénierie, nourriture, recherche et défense).

Le but du jeu est simple, construire une base et ainsi rejoindre les différents gisements miniers ainsi que les monolithes qui améliorent vos technologies, tout en défendant votre base contre les vagues d’attaques de plus en plus rapides. L’aspect construction de base est intéressant, puisqu’on y retrouve plusieurs niveaux de transformation, par exemple le jardin fournit la cuisine, qui produit la nourriture pour la création de nouveau laquais. De plus, les pièces en forme de Tetris, sont fournis de façon aléatoire, ce qui demande de porter attention à la configuration afin de minimiser le déplacement des laquais et réduire l’utilisation des ressources.

Différents buts doivent être atteints afin de passer au niveau suivant, mais honnêtement je ne vois pas comment je vais réussir à finir toutes les recherches dans un temps de 45 minutes. Je ne me lasse pas de réessayer par contre. Pour 5 $ je le suggère aux hardcores de la stratégie.

(CRITIQUE) Metro Last Light - intro

Tout comme Dovahkhyn, j’ai joué à Metro Last Light, et j’ai été jeté par terre par la qualité d’une suite qui a failli ne pas exister, suite à la faillite de THQ. Afin de comprendre mon enthousiasme, vous devez connaitre ma plus grande réserve face à l’original. On était constamment arrêté dans notre jeu par des séquences animées ou des vidéos. C’était vraiment frustrant. Dans Last Light, c’est tout le contraire, au lieu d’animation, on reçoit l’histoire et nos missions au travers des conversations que les différents personnages ont entre eux. Il n’y a pas de pause. Un peu à la manière de Max Payne 3, il devient difficile d’arrêter de jouer tellement les séquences s’emboitent l’une dans l’autre. Les différentes missions secondaires nous sont données de la même façon, alors lorsqu’un personnage vous demande de l’aider, c’est une mission secondaire qu’il vient d’activer!

Le jeu est beaucoup plus facile que le premier, surtout parce que le manque de munition n’est pas aussi criant que dans 2033, mais aussi la visé qui semble plus arcade. Ne soyez donc pas effrayé d’essayer le jeu en mode Ranger, ou pour ceux qui n’ont pas peur, le mode Ranger Hardcore! Si vous aimez Half-Life 2, Dishonored, Singularity, Riddick et les autres FPS qui sortent des sentiers battus et vous demandent de réfléchir avant de foncer, c’est un achat.

-Eric Chamberland

Twitter @chambee