Une Démo du jeu Pathologic 2 avant sa sortie au courant du mois de Mai 2019. Le jeu est du type narratif, en vue à la première personne. Il s’agit en fait d’un jeu d’enquête dans un monde ravagé par une épidémie. Mélanger à tout ça un personnage principal un peu confus et de l’ésotérisme. La qualité graphique est inégale, et les rares combats sont maladroits. Par contre l’atmosphère semble réussie. Le peu de dialogue est en russe, mais les textes sont en anglais. L’entrée en matière est un peu brusque et l’on découvre peu à peu ce que l’on doit faire et qui on est en même temps. Si vous aimez regarder des films de peur le soir seul sans aucune lumière dans un chalet en forêt, c’est probablement pour vous. Je vous en reparle une fois que j’y ai jouer un peu plus.
Mise à jour 8 Mai 2019:
J’ai complété la démo et voici donc mes impressions.
Négatif:
Graphiquement, c’est vraiment le minimum. Tous les bâtiments se ressemblent et il y a beaucoup de réutilisation d’accessoire. La palette de couleurs est brune et à la longue c’est un peu déprimant, surtout que le jeu est très noir. J’ai dû monter le Gamma pour y voir quelque chose. Les visages sont relativement bien faits, mais il est clair que le mouvement des lèvres n’est pas synchronisé avec la voix russe. Le combat est à éviter, on ne meurt pas, mais c’est vraiment pénible de frapper les adversaires, toute la mécanique est vraiment désuète. Beaucoup de voies en russe sans sous-titre, alors on y comprend rien.

Belle bande de fou.
Positif:
L’histoire qui semble incomplète et désordonnée est en fait un casse-tête que l’on doit mettre en place en enquêtant sur la mort de notre père. Les dialogues et les choix de réponses sont très bons et c’est vraiment le point fort du jeu et ce qui nous garde intéressés. La gestion d’inventaire, les cartes et le journal sont bien faits et ça nous permet de nous rappeler rapidement qui sont les personnages importants et la relation entre certains évènements.

Toujours le même metteur en scène qui nous rend la vie difficile.
la vidéo est ici:
Eric Chamberland