(Test FG) Slime Heroes

Un amas gluant de liquide solide, le Slime est un héros improbable pour sauver un monde rempli de corruption. Entrez dans la vie de votre Slime et sauvez son ami dragon du slime corrompu qui gangrène la paisible vie de ce monde. Bienvenue dans Slime Heroes!

Genre : Soul Like, RPG

Style : Solo et Coop, baston, humoristique

Éditeur : Whitethorn Games

Développeur : Pancake Games

Date de sortie : 6 Mars 2025

Plateforme : PC – Nintendo Switch / PlayStation / Xbox (à venir)

Classification : T pour adolescent

Langue des dialogues : anglais

Langue du sous-titrage : français, anglais, espagnol et autre

Option d’accessibilité : commandes personnalisables, langue modifiable

Court descriptif

Incarner un Slime dans un monde coloré, attaquer de slime corrompu et purifier vos amis de leurs tourments.

Points forts et faibles

Force

Jouabilité +
Fluidité des combats +
Variété des monstres +
Coup de coeur +

Faiblesse

Histoire peu impactant –
Zone jouable en Coop (limite de mouvement) –

Avis du rédacteur :

Quand on me parle de Slime, je ne peux m’empêcher de penser à ce cube vert, sautillant dans Minecraft. J’ai reçu un jeu à tester, portant sur le thème du slime. Nous incarnons un slime, que nous avons préalablement personnalisé, l’objectif est simple, sauver le monde qui nous entoure de la menace de slime corrompu qui transforme les habitants en dangereux monstres. J’ai sauté sur l’aventure avec mon meilleur ami Ben, qu’en avons-nous pensé? Voyons cela.

Les couleurs à l’honneur :

Avant de tester des jeux, d’en faire la critique, je n’étais pas naturellement portée vers des jeux indépendants, ou indie dans le vocabulaire usuel de chaque joueur. Or, je dois avouer qu’ils mettent le doigt sur des détails qui manquent dans les actuels Triple A, un âme vivante! Je m’explique, beaucoup de jeu dit Triple A sont beaux, certes, réalistes, sans aucun doute, mais manquent la coche de sa personnalité, l’âme même du jeu, une identité qui ne se base pas sur un graphisme aux détails infinis… Slime Heroe nous met en scène un environnement des plus colorés, une vague de couleur chaleureuse, une vague de couleur froide et un tsunami de personnalités propres à sa réalisation. Chaque recoin est idéal pour prendre une impression d’écran, digne même de fond d’écran!

Musique :

Un jeu n’est pas fait que de musique, il y a du bruitage et des dialogues actés aussi, mais ces éléments restent souvent bien secondaires, du moins, dans les jeux indie, ils n’ont pas toujours le budget pour un niveau professionnel au niveau des acteurs de voix, ou utilisent une banque de bruitage. Dans l’industrie, les grosses boîtes engagent même des gens que pour créer des sons parfaits, au bon moment! Ce qui différencie un jeu indépendant est bien évidemment la grosseur de l’équipe, parfois ce ne sont que des gens en solo qui créent un univers entier, SEUL! Encore là, sa semble complètement banal d’entendre un Slime se déplacer, mais quel bruit cela peut-il faire? La petite équipe de développement ont trouvé! Ils ont aussi donné naissance à des pistes musicales qui s’imbriquaient dans les ressentis véhiculés dans l’aventure.

Jouabilité :

Au niveau de la jouabilité, nous sommes dans quelque chose de standard, mais bien exécuté. A peine entrée dans l’aventure, ça ne prend pas trois heures pour bien comprendre les commandes qui sont extrêmement simples par la manette (oui, j’ai utilisé une manette). Le gros point négatif, dans mon sens, est uniquement le fait que si on joue en coopératif, nous devons rester proche l’un de l’autre, que la limite de distance est l’écran du joueur. Cela rend complexe certains combats qui, en solo, sont plus simple. Par contre, Slime heroe nous a fait rire par moment du au fait de notre incapacité de jouer en équipe sur certains objectifs sensibles.

La longévité du jeu versus son prix :

Slime Heroes offre un 15 heures de jeu, ce qui est plutôt confortable bien que je sois davantage habituée à des aventures bien plus longues en ce qui concerne les jeux coopératifs. Un point souvent négligé dans les critique, le bestiaire. En général nous en parlons plus aisément dans des critique axé sur des jeux titré Final Fantasy, ici il y a un réel travail fait pour créé une variété intéressante de monstre qui offrira tous de plus en plus de défi pour les combattre. Un conseil, prenez le temps de tout faire, vous n’y passerez pas la semaine quand même mais vous offrira des défi plus intéressant. Je ne peux actuellement pas faire de comparaison de prix, mais dès qu’il m’en sera possible, je mettrais a jour cette section.

En bref, c’est un jeu axé sur le combat et la coopération avec votre meilleur ami, son coté léger et sans extrême dans la compréhension de ses mécaniques rendent le tout facile d’accès et sans prise de tête. Son art dans les graphismes, d’un coloré infini et contrasté avec les ennemis est intéressant. La bande originale, et la trame sono découlent d’un travail artistique intéressant, offrant même les sentiments parfaits aux bons moments pour une aventure qui n’a pas besoin de parler pour nous absorber. Cependant les limites imposées au jeu en coop ainsi que sa difficulté de s’enligner pourraient en freiner quelques-uns.

Note personnelle : 8/10

Note de Ben : 7.5/10

Signature : SkyFarron